lundi 28 décembre 2020
La première séance de cinéma
jeudi 17 décembre 2020
La mode masculine à la ville en 1900
En 1900, la mode masculine est de couleur sombre. A contrario de la mode féminine, elle est stricte et n’évolue que lentement. Cette sobriété permet cependant de mettre en valeur les tenues chatoyantes de ces dames.
A la ville, tant la haute bourgeoisie que les bourgeois plus modestes revêtent un costume trois pièces composé d’un pantalon proche du corps, d’un gilet et d’une veste ainsi que d’une chemise blanche. Cet ensemble est accessoirisé d’une cravate qui peut être légèrement colorée mais sans excès, d’un chapeau et d’une canne. Le chapeau sera un chapeau haut de forme pour le soir ou un chapeau melon pour la ville. Gants et montre à gousset complètent cette tenue.
Les cheveux sont portés courts et la mode est au port de la moustache.
Les chaussures sont des souliers plats en cuir à lacets en soirée ou des bottes de styles variés. La production de chaussures s’est mécanisée au milieu du XIXe siècle, et en 1900, la plupart des gens portent des chaussures fabriquées dans des usines et vendues par des détaillants de chaussures, plutôt que par des cordonniers.
Les vêtements masculins non seulement habillent l’homme, mais ils sont aussi le reflet de sa classe sociale et de l’évolution de la société.
jeudi 10 décembre 2020
Le pointilleur
A la fin du XIX° et au début du XX° siècle, les ingénieurs et dessinateurs ne disposaient pas de beaucoup d’instruments pour dessiner des pointillés réguliers. Il y avait le tire-ligne - à condition d'avoir beaucoup de doigté pour dessiner des pointillés réguliers - et il y avait le pointilleur !
DR. www.laboiteverte.fr |
Ce principe fut breveté par M. Richter à la fin du XIX° siècle et fut utilisé couramment dans la première moitié du XX° siècle.
Il fut commercialisé par différentes sociétés dont la marque suisse Kern.