vendredi 17 décembre 2021

Le musée des arts forains

Une machine à remonter le temps s’est nichée à Paris dans les anciens entrepôts de vins de Bercy. C’est à cet endroit que se trouve l’unique musée des Arts Forains. Ce fabuleux voyage commence une fois passées les grilles des Pavillons de Bercy. Dans trois grandes salles richement décorées et scénarisées, vous pouvez revivre une fête foraine du XIXème siècle, le carnaval dans les Salons Vénitiens ainsi qu’une évocation des cabinets de curiosité dans Le Théâtre du Merveilleux.
Au programme de votre visite, des carrousels et manèges de chevaux ouverts à tous, des attractions centenaires, des spectacles et de fabuleux décors.
Mais le plus extraordinaire est sans nul doute le manège de vélocipèdes, fabriqué en 1897. Ce fut l’un des premiers manèges à sensations fortes, permettant à ses passagers d’atteindre, juchés sur un vélo, la vitesse exceptionnelle d’une soixantaine de km/h à une époque où motos et voitures en étaient à leurs balbutiements.
Le théâtre du Merveilleux renvoie le visiteur au temps des Expositions Universelles du début du XXe siècle au moyen de projections murales en musique. On y trouve des décors d’époque (de 1850 à nos jours), des jeux d'autrefois… On se retrouve dans un autre univers, un monde magique !
La visite guidée permet de s’émerveiller devant la plus grande collection d’Europe d’objets forains et de spectacle en se laissant porter par les commentaires et anecdotes d’époque des guides/acteurs !

Le musée des arts forains
53 Av. des Terroirs de France
75012 Paris

samedi 11 décembre 2021

Boules de Noël victoriennes

Le Gramophone Beuglant vous partage le tutoriel d'un célèbre fabricant français de surgelés afin de  réaliser vous-même de jolies boules de Noël d’inspiration victorienne pour décorer votre sapin.
Pour commencer il vous faut imprimer sur du papier épais (minimum 120g) des planches de trames victoriennes comme par exemple celle ci-dessous.
Ensuite, vous devrez découper dans ces trames des ronds de diamètres identiques en fonction du diamètre de la boule souhaité (6 cm par exemple).
Pliez en deux chaque rond obtenu.
Appliquez de la colle sur chaque face blanche.
Collez les ronds deux par deux sauf deux à garder pour la dernière étape.
Fixer un morceau de ruban ou de bolduc et assembler les deux derniers ronds.



jeudi 2 décembre 2021

Noël en 1900

Les fêtes de Noël telles que nous les connaissons aujourd’hui se sont principalement construites à l’époque victorienne dans la seconde moitié du XIX° siècle. Elles sont étroitement liées à l’émergence de la bourgeoisie. On assiste alors au glissement progressif d’un rituel religieux à un rituel familial. Cela ne concerne évidemment dans un premier temps que la bourgeoisie car cela suppose un certain faste et donc un coût budgétaire non négligeable.
L’émergence des grands magasins y est aussi pour beaucoup. Ils ont en effet très vite compris que Noël devenait une aubaine commerciale. Ils ont alors créé l’offre et l’envie de cadeaux à cette période de l’année, investissant dans les catalogues de Noël et dans de somptueuses vitrines propres à faire rêver petits et grands. Noël devient alors une fête consumériste.
En 1843, Charles Dickens publie son Conte de Noël empreint de culture victorienne où il met en scène la famille Cratchit fêtant modestement Noël face à l’usurier Scrooge. Ce conte, dont le thème principal est l’injustice sociale de cette époque, fait l’éloge de la générosité et de la bienveillance. Il est aussi en partie le révélateur de plusieurs valeurs et traditions comme la figure de l’enfant roi (en réaction aux enfants misérables engendrés par l’industrialisation galopante en France et en Grande Bretagne) ou le repas de Noël avec sa célèbre dinde.
Magasin de jouets en 1900
Le Père Noël apparaît en 1822 dans le récit intitulé « Twas the Night Before Chrismas », de Clément C. Moore, sous les traits d’un gros bonhomme joyeux aux joues rouges. Les illustrations de Thomas Nast (de 1860 à 1880 environ) sont à l’origine de l’image moderne du personnage Noël avec un gros ceinturon, un costume rouge à fourrure blanche et établit sa résidence au pôle Nord.  Ce personnage tire ses origines de Saint Nicolas, qui deviendra Santa Klaus en traversant l’atlantique, ou bien encore d’un lutin scandinave. Dans ses premières représentations, il est habillé de rouge ou de vert suivant les dessinateurs.
Le père Noël au début du XX° siècle
Le sapin de Noël, possède, quant à lui, une origine très ancienne. Seul arbre à rester vert durant l’hiver, on en trouve trace dès le XVI° siècle en Europe où les familles prennent l’habitude d’en accrocher des branches au plafond à l’intérieur des maisons. Au XIX° siècle, on y accroche d’abord des pommes, puis en 1858, après une très mauvais récolte, un verrier a l’idée de les remplacer par des boules en verre. Les boules de Noël viennent de naître.
A l’époque, l’hiver étant une période sombre, on prend l’habitude d’y suspendre des bougies, avec les risques d’incendies que l’on peut imaginer. De nombreux brevets de support de bougies pour arbre de Noël sont déposés à la seconde moitié du XIX° siècle.
Brevet de support à bougies pour arbre de Noël
Quant aux premières guirlandes électriques, on les doit à… la Edison Electric Company en 1895 ! Cette année-là, pour la première fois, la Maison Blanche est décorée avec un sapin garni de centaines d’ampoules électriques multicolores.

jeudi 25 novembre 2021

L’atelier des mondes parallèles

Vaporistes lyonnais ou de passage dans cette belle ville, le Gramophone Beuglant vous recommande une nouvelle adresse : l’atelier des mondes parallèles.
Dans cette boutique, tenue par Cat et Victorien, deux passionnés de steampunk et plus généralement de « mondes parallèles »  vous trouverez tout ce dont vous avez besoin pour assouvir votre passion.
Dans un décor soigné, vous trouverez des costumes victoriens, de la décoration (allez admirer les magnifiques lampes montgolfières) mais aussi tout le matériel nécessaire à la création de votre propres œuvres : pistolet à colle, mini perceuse, plaque de mousse EVA, fioles, livres, etc.
Car un autre atout de cette boutique, c’est qu’elle possède un atelier vous permettant de réaliser vos propres réalisations : bijoux steampunk, chapeaux, etc. Des animations ont régulièrement lieu afin de vous faire découvrir de nouvelles techniques : travail de la résine, peinture, etc.
Il est enfin possible de faire réaliser des travaux à façon sur l’imprimante 3D ou sur la découpeuse laser. Rien n’a été oublié !
L'atelier
N’hésitez pas à leur rendre une petite visite, le meilleur accueil vous sera réservé.

L’atelier des mondes parallèles
29 rue Baraban - 69003 Lyon
04 78 54 77 70

vendredi 19 novembre 2021

Les différents genres "Punk"

Depuis quelques années, on assiste à une abondance de genres de science-fiction dont le nom se termine par le suffixe -punk : cyberpunk, steampunk, dieselpunk... Le Gramophone Beuglant vous aide à y voir plus clair.
Tout d’abord, ce suffixe fait référence au mouvement musical, vestimentaire et idéologique du même nom apparu aux États-Unis au milieu des années 70 ; il sert à désigner une contre-culture et l’idée que le futur n’est pas enviable. Le premier genre à en être affublé est le cyberpunk, dont le terme apparaît pour la première fois dans la nouvelle Cyberpunk (1980) de l’auteur américain Bruce Bethke et a par la suite été popularisé par l’auteur et éditeur Gardner Dozois. Le cyberpunk désigne un courant de science-fiction où l’intrigue se déroule dans un futur dystopique où la technologie, très avancée, domine la vie des citoyens. On va y trouver les thèmes de l’intelligence artificielle, la cybercriminalité, les modifications corporelles destinées à améliorer l’être humain, les mégacorporations dont le pouvoir dépasse celui des états. Une des œuvres majeures du mouvement cyberpunk et surtout une des plus connues du grand public est le film Blade Runner de Ridley Scott sorti en 1982.
À la fin du 20e siècle, un nouveau courant littéraire est né, où ce n’est plus une technologie futuriste qui modèle le monde mais une technologie inspirée de la révolution industrielle, à base de machines à vapeur et de rouages. On nommera ainsi ce courant « Steampunk » en référence au cyberpunk. On y retrouve toujours l’idée d’une contreculture mais au lieu de transmettre l’idée d’un avenir peu enviable à travers un futur dystopique, le steampunk préfère présenter un passé fantasmé et extrapole un futur différent de la réalité. En ce sens, le steampunk est généralement plus positif et optimiste, bien que l’idée sous-jacente que l’on préfère le passé à l’avenir soit toujours présente.
À partir du cyberpunk, de nombreux sous-genres se sont créés, reprenant l’idée d’un futur alternatif ou même des univers rétrofuturistes. À part le cyberpunk et le steampunk, on peut citer notamment le dieselpunk, qui se base lui sur l’esthétisme de l’entre-deux-guerres, et intègre donc le moteur diesel à la place du moteur à vapeur. En continuant la chronologie, on trouve l’atompunk qui fait référence à la période s’étendant des années 50 aux années 70, pendant la guerre froide et la fascination de l’énergie atomique.
D’autres genres de science fiction se basent sur une période historique comme le steelpunk (fin du 20e siècle), le stonepunk (préhistoire) ou encore le clockpunk (renaissance) mais ceux-ci sont moins connus et moins représentés dans les œuvres de fiction.

Mais il y a également des genres « punk » qui ne correspondent pas particulièrement à une période historique précise mais plus à une technologie ou un contexte particulier. C’est le cas du biopunk qui traite des biotechnologies, des modifications corporelles et génétiques. Il se rapproche du cyberpunk dans le sens où il décrit généralement un monde futuriste, souvent dystopique mais mêle technologie et vivant. L’un des exemples les plus connus est le film Bienvenue à Gattaca d’Andrew Niccol sorti en 1997. Le Raypunk quant à lui dépeint des univers de science fiction incluant souvent des voyages spatiaux et la découverte de nouveaux mondes, il se rapproche de l’atompunk dans son contexte. On peut par exemple citer Planète Interdite de Fred M. Wilcox sorti en 1956 qui correspond au genre Raypunk.Il existe au final une multitude de genres affublés du suffixe -punk, trop pour qu’on puisse en dresser une liste exhaustive, mais nous espérons avoir pu vous faire un tour d’horizon des exemples les plus connus. Ainsi, la prochaine fois que vous verrez un film, livre ou jeu vidéo décrit comme étant « machin-punk », vous serez capables de deviner autour de quels thèmes tournera le récit.

jeudi 11 novembre 2021

Eiffel : le film

Dimanche 7 novembre 2021, la rédaction du Gramophone Beuglant avait fait le déplacement jusqu’à Lyon rejoignant ainsi les membres et amis du CLIVRA pour la projection en costumes du film de Martin Bourboulon « Eiffel ».
La projection eut lieu au cinéma Bellecombe, dans une salle au charme d’antan. Celle-ci (à l’origine une salle de théâtre) fut édifiée en 1898, soit trois ans après la naissance du cinéma, à quelques pas de là dans l’usine Lumière !
La soirée fut l’occasion de présenter le CLIVRA (Club de L'Imaginarium à Vapeur en Rhône Alpes) et d’échanger avec quelques spectateurs sur le mouvement Steampunk.
Cette soirée organisée conjointement par le CLIVRA et le cinéma Bellecombe fit salle comble.

Le film
Dans cette grande romance sur fond patrimonial consacrée à Gustave Eiffel, le film accorde la place centrale à une histoire d'amour – imaginaire - que le célèbre ingénieur aurait entretenue dans sa jeunesse. L’esthétique du film est soignée, la reconstitution du chantier assez fidèle à la réalité ainsi que l'opposition des riverains et des artistes de l'époque à ce projet. On ne peut que regretter que la Tour et sa construction n’ait pas un rôle plus central dans le film.

vendredi 5 novembre 2021

Naissance de la publicité au XIX° siècle

La « publicité » existe depuis l’antiquité. Des fouilles archéologiques ont permis de mettre à jour des amphores datant de 500 avant JC sur lesquelles figurait déjà une forme de publicité par la mention « Achète-moi, tu ne seras pas déçu ».

Les enseignes des échoppes du moyen âge destinées à attirer le client représentent, elles aussi, une forme de publicité. Mais la première publicité telle que nous la concevons aujourd’hui apparait pour la première fois en 1660 dans la revue le Mercurius Politicus. Il s’agissait d’une publicité pour du dentifrice.

Mais ce n’est que dans la seconde moitié du XIX° siècle, que l’on assistera à un réel essor de la publicité – qui s’appelle à l’époque « réclame » - et cela pour plusieurs raisons. La première est une timide amélioration de la liberté d’expression. La seconde, est une évolution très importante des techniques d’impression comme par exemple la chromolithographie. La troisième enfin et vraisemblablement la raison majeure, est la révolution industrielle et commerciale. Celle-ci permet de produire en plus grande quantité et voit apparaître un marché sur lequel sont proposés de nouveaux produits et qui s’appuie sur des modes de distribution nouveaux comme les grands magasins.
Dès 1836, Emile de Girardin, fonde le journal « La Presse ». Les frais de fabrication d’un journal coutant cher, il a l’idée de vendre ses pages pour l’insertion de publicités. L’abaissement du prix de vente du journal dû à l’introduction massive de publicité lui permet de gagner un nouveau lectorat. Les recettes du journal dépendent désormais plus des annonceurs que des abonnements.
En 1844, Jean-Alexis Rouchon, affichiste et imprimeur français,  dépose un brevet pour « l'application de l'impression du papier peint à l'impression en couleurs d'affiches ». Il devient ainsi l'inventeur de l'affiche en couleur et en grand format. Certaines de ses affiches pour les grands magasins font 2,70 x 2,20 m !
Jules Cheret, imprimeur parisien, va marquer de son empreinte l’histoire de la publicité en étant le premier à donner, sur une affiche, davantage d’importance à la partie figurative qu’au texte. Il imprimera des milliers d’affiches pour les théâtres et spectacles parisiens.

Les travaux entrepris par Le baron Haussmann à Paris ont, eux aussi, indirectement favorisé le développement de l’affiche. Des quartiers entiers se sont couverts de palissades, offrant à l’affiche en plein essor des surfaces très importantes. Des supports dédiés à la publicité sont alors inventés : colonne Morris, kiosques à journaux, vespasiennes, etc. Mais en plus de ces supports fixes, de nouveaux supports mobiles apparaissent comme le « fiacre réclame », l’homme sandwich et un peu plus tard le métro.
De grands artistes comme Toulouse Lautrec ou Alphonse Mucha vont mettre leur talent au service des affichistes et de la publicité.

Les grands magasins, tout comme certaines grandes marques, vont aussi distribuer des « cartes réclames » offertes massivement aux acheteurs. À côté des biens de consommation courante tels que les produits d’hygiène, les publicités vantent de nombreux services aujourd’hui disparus : chapellerie, passementerie, etc.
La publicité de cette époque est intéressante à plus d’un titre. Outre qu’elle permet d’appréhender l’évolution des techniques d’impression et de communication, elle se trouve être le reflet de la société de consommation qui vient de naître.

jeudi 21 octobre 2021

La customisation des armes Nerf

Vous avez sûrement déjà croisé des vaporistes arborant une arme cuivrée à l’aspect inquiétant. Il y a de fortes chances que cette arme fût jadis un pistolet à fléchettes en mousse de la marque Nerf. Mais pourquoi me diriez-vous ? C’est ce à quoi nous allons tenter de répondre.

Premièrement, tout le monde ne possède pas l’ingéniosité et le savoir-faire pour créer des armes esthétiques à partir de rien. Il n’est en effet pas aisé, à partir de tubes en cuivres, planches de bois et de divers éléments métalliques, d’arriver à un résultat convaincant. Il est donc intéressant de débuter en partant d’une base existante et de la modifier selon ses goûts.

De plus, certaines conventions Steampunk appliquent des règles assez strictes concernant les armes, et celles qui les acceptent demandent souvent à ce qu’elles ne ressemblent en rien à des armes réelles. Partir d’une réplique d’arme pour airsoft par exemple peut s’avérer périlleux si l’on désire l’emmener à sa prochaine convention.

C’est pourquoi de nombreux vaporistes se tournent vers des armes en jouet ou des pistolets à eau pour servir de base à leur futures créations. Elles ont en effet plusieurs avantages :
- elles sont souvent peu onéreuses, ce qui les rend accessibles au plus grand nombre, surtout si vous désirez vous fabriquer un véritable arsenal de fusils à vapeur ;
- elles sont la plupart du temps en plastique ce qui rend leur modification plus aisée. Elles se découpent très bien avec une scie à main voire avec un cutter et elles sont faciles à coller et à peindre ;
- enfin, elles sont légères car en plastique, comme dit précédemment, mais également car elles sont souvent constituées de coques vides. Ce détail devient important si vous projetez de les transporter de nombreuses heures lors de conventions.
Mais les armes Nerf sont quand même majoritaires par rapport à d’autres marques. Cela est dû, entre autres, au fait qu’elles possèdent des formes originales ce qui donnera à votre arme steampunk un look digne d’un monde parallèle. Entre les revolvers, les fusils, les armes à ressort ou à moteur, avec chargeur ou au coup par coup, il y en a pour tous les goûts. Il suffit souvent de les repeindre pour avoir déjà un fusil à vapeur convaincant. Vous pouvez ensuite y ajouter manomètres, tuyaux, rouages, etc. Les armes Nerf ne risquent pas de passer pour de vraies armes en convention, et elles sont légères à transporter. De plus, elles se démontent facilement avec un tournevis, contrairement à d’autres jouets en plastique.
Ces pistolets à fléchettes possèdent cependant quelques inconvénients. Premièrement, ils possèdent des couleurs criardes, ce qui peut devenir un problème lorsque deux pièces frottent l’une sur l’autre : la peinture peut vite s’user et laisser apparaître le plastique jaune fluo qui jurera quelque peu sur votre fusil cuivré. Si vous souhaitez que votre arme reste fonctionnelle et soit capable de projeter ses fléchettes en mousse, nous vous conseillons de choisir un modèle avec un minimum de pièces coulissantes (les fléchettes resteront cependant aux couleurs de l’arme, sauf si vous décidez d’investir dans des munitions compatibles aux couleurs plus discrètes).

Le modèle Maverick a eu beaucoup de succès grâce à son barillet rotatif et son design futuriste. Bien qu’il ne soit plus vendu par Nerf, il est toujours possible de le trouver sur internet à des prix raisonnables.

jeudi 14 octobre 2021

Le Palais de l'Illusion (suite)

Dans la grande tradition des fêtes foraines du début de XX° siècle, le Palais de l’Illusion s’est installé dans le monde magique et féérique du festival Yggdrasil Woodland.

Les reporters du Gramophone Beuglant ont installé leurs tréteaux,
Ils ont dressé leur estrade
Et tendu des calicots.
Ils ont parcouru les allées
Et donné la parade
A grand renfort d’illusions d’optique. *
Les amis du Gramophone Beuglant
L'équipe rédactionnelle du Gramophone Beuglant

* Libre interprétation de la chanson « Les comédiens » de Charles Aznavour

jeudi 7 octobre 2021

Yggdrasil Woodland 2021 : le film

De retour du monde merveilleux d'Yggdrasil Woodland, les reporters du Gramophone Beuglant n'en sont pas revenus les mains vides. En plus des daguerréotypes parus dans notre précédent article, ils ont aussi rapportés d'étrange images animées appelées "cinématographe".

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