Au détour d’une convention vous avez peut-être déjà croisé Gustave Boileau, le rédacteur en chef du « Gramophone Beuglant ».
Il est généralement vêtu comme il est de coutume pour les hommes en cette fin de XIX° siècle, d’un pantalon noir ajusté, d’une chemise claire, d’un gilet et d’une redingote ou d’un spencer. Mais avez-vous prêté attention à ses accessoires ?
Outre son célèbre gibus ornée d’une main mécanique – qui selon les mauvaises langues écrirait les articles à sa place – de plumes de rechange, d’un tampon et de sa carte de presse, il porte une flasque et un calepin pour y noter ses articles.
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